Cancer du foie : Symptômes, causes et prévention

Découvrez dans notre article, les symptômes, les causes et la prévention pour cerner et vaincre le cancer du foie significativement. Découvrez également les derniers traitements disponibles.

Cancer du foie : Quelques chiffres

Le cancer du foie représente aujourd’hui un défi majeur dans le paysage des maladies oncologiques mondiales. Avec près de 800 000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année, cette maladie se classe au sixième rang des cancers les plus fréquents. Le taux de mortalité reste particulièrement préoccupant puisqu’il s’agit de la quatrième cause de décès par cancer dans le monde.

Maladie silencieuse : Agir à temps

Le cancer du foie est une pathologie qui évolue souvent silencieusement pendant longtemps. Quand les symptômes apparaissent, la maladie est parfois déjà bien avancée. D’où l’importance cruciale d’un diagnostic précoce qui peut littéralement changer la donne pour les patients. Fort heureusement, les progrès médicaux récents nous donnent des raisons d’espérer. De nouvelles thérapies ciblées et immunothérapies montrent des résultats prometteurs, même pour les cas avancés.

Qu’est-ce que le cancer du foie ?

Les types de cancers hépatiques

Le cancer du foie, ce n’est pas une maladie unique mais plutôt un ensemble de pathologies :

  • Le carcinome hépatocellulaire (CHC) est le plus courant (environ 75 % des cas). Il se développe à partir des cellules du foie lui-même, souvent sur un terrain de cirrhose préexistante.
  • Le cholangiocarcinome prend naissance dans les cellules des canaux biliaires et représente 10 à 15 % des cancers hépatiques primaires.
  • L’angiosarcome hépatique, plus rare, affecte les vaisseaux sanguins du foie.
  • L’hépatoblastome touche principalement les enfants et reste heureusement peu fréquent.

Anatomie du foie et son importance

Le foie est un peu le couteau suisse de notre organisme.  C’est notre plus gros organe interne et il accomplit une multitude de fonctions essentielles : Détoxification du sang, stockage des nutriments, production de protéines vitales, métabolisme des médicaments. Quand le cancer s’y développe, ces fonctions vitales sont progressivement compromises. La distinction entre tumeurs primaires (qui débutent dans le foie) et métastases hépatiques (provenant d’autres cancers) est fondamentale car elle oriente complètement la prise en charge.

Cancer du foie : Les symptômes

Les symptômes précoces souvent négligés

Les premiers signes sont malheureusement assez banals et facilement attribués à d’autres causes plus bénignes :

  • La fatigue chronique est souvent le tout premier symptôme, mais qui consulte pour ça ? On a tous des vies bien remplies, et la fatigue paraît normale. Pourtant, quand elle persiste sans raison évidente, c’est parfois un signal d’alarme.
  • La perte de poids involontaire : Elle survient sans régime ni effort particulier et devrait toujours alerter. Une douleur sourde dans le quadrant supérieur droit de l’abdomen peut être le signe d’une tumeur qui grossit et étire la capsule hépatique.
  • Des nausées persistantes et les vomissements inexpliqués complètent ce tableau initial.

Manifestations avancées de la maladie

À mesure que la maladie progresse, des signes plus spécifiques apparaissent :

  • La jaunisse (ou ictère) se manifeste par un jaunissement de la peau et du blanc des yeux. C’est le signe que le foie ne parvient plus à éliminer correctement la bilirubine.
  • L’ascite, cet épanchement de liquide dans l’abdomen, peut rendre le ventre gonflé et tendu. Ce liquide fait prendre du poids au malade puisqu’il s’agit d’une accumulation anormale de liquide liée à leur cancer.
  • L‘encéphalopathie hépatique peut provoquer confusion, somnolence et modifications de la personnalité.
  • Les varices œsophagiennes, quant à elles, résultent de l’hypertension portale et peuvent causer des hémorragies digestives potentiellement graves.

Cancer du foie : Quand consulter ?

Ne tardez pas à consulter. Un médecin pourra déterminer si un dépistage est nécessaire. si vous présentez une combinaison de ces symptômes et surtout si vous avez des facteurs de risque :

  • Une cirrhose connue
  • Une hépatite chronique
  • Des antécédents familiaux

Pour les personnes à risque élevé, un suivi régulier par échographie et dosage de l’alpha-fœtoprotéine est généralement recommandé tous les 6 mois. Cela reste pour le moment le meilleur outil pour détecter la maladie tôt, quand les chances de guérison sont encore bonnes.

Causes et facteurs de risque du cancer du foie

Les maladies hépatiques chroniques

Derrière un cancer du foie, on retrouve souvent une maladie hépatique préexistante. C’est un peu comme construire une maison sur des fondations fragilisées, tôt ou tard, les problèmes surgissent.

  • La cirrhose représente de loin le facteur de risque principal. Cette « cicatrisation » progressive du foie crée un environnement propice au développement tumoral. Une cirrhose, stable depuis des années, peut soudainement se compliquer d’un cancer.
  • Les hépatites virales sont particulièrement redoutables. Le virus de l’hépatite B peut directement endommager l’ADN des cellules hépatiques, tandis que l’hépatite C opère plus insidieusement en provoquant une inflammation chronique qui, avec le temps, favorise les mutations cancéreuses.
  • La stéatose hépatique non alcoolique (NASH) s’est imposée comme une cause majeure. Dans notre société où l’obésité progresse, cette « maladie du foie gras » touche désormais près de 25 % de la population mondiale. Elle commence par une simple accumulation de graisse dans le foie, mais peut évoluer vers l’inflammation, la fibrose et finalement le cancer.

Cancer du foie : Les facteurs de risque liés au mode de vie

Nos habitudes quotidiennes jouent un rôle déterminant.

  • La consommation excessive d’alcool reste un facteur majeur car non seulement elle peut causer la cirrhose, mais elle génère aussi des composés toxiques qui endommagent directement l’ADN hépatique.
  • Le tabagisme, bien que moins directement lié que pour d’autres cancers, augmente tout de même le risque de 50 %.
  • Quant à l’obésité et au diabète, ils créent un état d’inflammation chronique et de résistance à l’insuline qui favorise la carcinogenèse hépatique.
  • Certaines toxines environnementales méritent notre attention. L‘Aflatoxine, produite par un champignon qui contamine parfois les céréales et les arachides mal stockées, est particulièrement cancérigène pour le foie. C’est un problème surtout dans certaines régions d’Afrique et d’Asie, mais qui illustre bien comment notre environnement peut influencer notre santé.

Les facteurs génétiques et héréditaires

La génétique joue aussi son rôle :

  • L‘hémochromatose, cette maladie caractérisée par une absorption excessive du fer, peut endommager le foie à long terme.
  • Le déficit en alpha-1 antitrypsine et la Tyrosinémie, bien que plus rares, sont d’autres exemples de prédispositions génétiques qui pouvent mener au cancer hépatique.

Diagnostic du cancer du foie

Les examens sanguins et marqueurs tumoraux

Cancer du foie : La prise de sang

  1. Le diagnostic commence généralement par des analyses sanguines. L’alpha-fœtoprotéine (AFP) est le marqueur tumoral classique, mais attention il n’est pas parfait car environ 30 % des petits cancers du foie ne produisent pas d’AFP, et inversement, certaines hépatites peuvent faire grimper ce marqueur sans qu’il y ait de cancer.
  • Les tests de fonction hépatique nous renseignent sur l’état général du foie. Des enzymes comme les transaminases (ALAT, ASAT), la gamma-GT ou les phosphatases alcalines peuvent être élevées, mais là encore, ces anomalies ne sont pas spécifiques du cancer.
  • Le bilan d’hémostase évalue la capacité du foie à produire des facteurs de coagulation. Une fonction souvent altérée quand l’organe est malade. C’est crucial pour évaluer les risques avant une biopsie ou une intervention chirurgicale.

Les techniques d’imagerie médicale

L’imagerie fait partie du diagnostic :

  • L’échographie abdominale est souvent le premier examen réalisé car elle peut détecter des nodules suspects mais reste limitée pour les petites lésions.
  • Le scanner (tomodensitométrie) offre une vision plus détaillée et permet d’étudier la vascularisation des lésions. Un cancer du foie a typiquement une prise de contraste caractéristique.
  • L’IRM hépatique est probablement l’examen le plus précis. Elle peut détecter des nodules de quelques millimètres et caractériser finement leur nature. Avec les séquences de diffusion et l’injection de produits de contraste spécifiques comme le Primovist, on peut distinguer un nodule bénin d’un cancer avec une grande fiabilité.
  • Le TEP-scan aide principalement à rechercher d’éventuelles métastases à distance, un élément déterminant pour définir la stratégie thérapeutique.

Cancer du foie : La biopsie hépatique

Parfois, malgré tous ces examens, le doute persiste. La biopsie devient alors nécessaire pour obtenir un diagnostic de certitude. Une aiguille fine traverse la peau jusqu’au foie pour prélever un fragment de la lésion suspecte. L’analyse microscopique de ce tissu permet de confirmer la nature cancéreuse et d’en préciser le type exact. Cette information est cruciale car elle oriente directement le traitement.

A savoir : La biopsie n’est pas dénuée de risques : Saignement, infection ou dissémination de cellules cancéreuses sur le trajet de l’aiguille. C’est pourquoi on ne la réalise que lorsqu’elle est vraiment indispensable pour la décision thérapeutique.

Stades du cancer du foie

La classification TNM

Une fois le diagnostic posé, il faut déterminer l’étendue de la maladie. La classification TNM évalue trois paramètres essentiels:

  • Le T (Tumeur) définit la taille et le nombre de tumeurs et l’invasion des vaisseaux
  • Le N(Nodes/Ganglions) détermine la présence ou l’absence d’envahissement ganglionnaire
  • Le M (Métastases) : Précise l’existence de métastases à distance

Cette classification permet de parler un langage commun entre professionnels de santé. Un cancer T1N0M0 est bien différent d’un T3N1M1 en termes de traitement et de pronostic.

Le score Child-Pugh et classification BCLC

Cancer du foie : Le score Child-Pugh

La particularité du cancer du foie, c’est qu’il faut évaluer deux maladies en même temps : Le cancer lui-même et l’état du foie sous-jacent.

Le score de Child-Pugh mesure la fonction hépatique résiduelle en combinant cinq critères :

  • La bilirubine
  • L’albumine,
  • L’INR
  • L’ascite
  • L’encéphalopathie

Cancer du foie : La classification BCLC

La classification BCLC (Barcelona Clinic Liver Cancer) intègre à la fois le stade tumoral, la fonction hépatique et l’état général du patient. C’est probablement la plus utilisée car elle oriente directement vers une stratégie thérapeutique. Elle va du stade très précoce (0) au stade terminal (D).

La thérapeutique selon le résultat du score :         

C’est ce score qui va déterminer si un patient peut bénéficier d’un traitement potentiellement curatif comme la chirurgie ou s’il doit s’orienter vers des options palliatives. Un patient BCLC-A avec une bonne fonction hépatique pourra envisager une résection ou même une transplantation, tandis qu’un BCLC-D sera malheureusement limité aux soins de support.

Cancer du foie : Les traitements

Les approches chirurgicales :

Cancer du foie et guérison

Quand on parle de guérison, la chirurgie reste notre meilleure arme. La résection hépatique qui consiste à retirer la partie du foie contenant la tumeur offre de réelles chances de guérison pour les tumeurs localisées. L’incroyable capacité de régénération du foie permet d’enlever jusqu’à 70 % de l’organe, qui retrouvera progressivement sa taille d’origine.

La transplantation hépatique 

La transplantation hépatique représente, dans certains cas, la solution idéale puisqu’elle traite à la fois le cancer et la maladie hépatique sous-jacente. Certains patients peuvent retrouver une vie quasi normale après une greffe. Mais il faut savoir que les critères sont stricts pour une transplantation :

  • Les « critères de Milan » correspondent à une tumeur unique ≤ 5 cm ou jusqu’à 3 tumeurs ≤ 3 cm) et les donneurs restent malheureusement trop rares.

Les thérapies locorégionales

Pour les patients qui ne peuvent bénéficier d’une chirurgie, plusieurs techniques permettent de cibler directement la tumeur :

  • L’ablation par radiofréquence utilise la chaleur pour détruire les cellules cancéreuses. C’est efficace pour les petites tumeurs et peut parfois être réalisée par voie percutanée, sans chirurgie ouverte.
  • La chimio-embolisation transartérielle (TACE) combine deux approches : on injecte des agents chimiothérapeutiques directement dans l’artère nourrissant la tumeur, puis on « bouche » cette artère pour piéger le médicament dans la tumeur.
  • La radioembolisation (SIRT) fonctionne sur un principe similaire mais utilise des particules radioactives au lieu de chimiothérapie. Ces traitements peuvent ralentir la progression de la maladie et parfois même réduire suffisamment la tumeur pour permettre ensuite une chirurgie.

Les traitements systémiques

Quand le cancer s’est propagé, les traitements systémiques entrent en jeu.

La chimiothérapie conventionnelle n’a jamais vraiment brillé contre le cancer du foie, mais les thérapies ciblées ont changé la donne.

-Le Sorafénib a été le premier médicament à montrer un bénéfice de survie, suivi par d’autres comme le Lenvatinib. Ces médicaments ciblent spécifiquement les mécanismes de croissance tumorale et de formation des vaisseaux sanguins qui nourrissent la tumeur.

-L’immunothérapie représente la dernière révolution en date. Des médicaments comme le Nivolumab ou le Pembrolizumab « réveillent » notre système immunitaire pour qu’il reconnaisse et attaque les cellules cancéreuses. Les résultats sont encourageants, avec parfois des réponses durables chez certains patients.

Cancer du foie : Survie et pronostic

Les facteurs influençant le pronostic

Le pronostic du cancer du foie reste globalement sévère, mais certains facteurs peuvent considérablement l’influencer :

  • Le stade au diagnostic est certainement le plus déterminant. Un petit nodule découvert par hasard n’a rien à voir avec une tumeur massive symptomatique.
  • L’état de la fonction hépatique joue son rôle décisif dans la thérapeutique. Un patient avec un foie presque normal aura plus d’options thérapeutiques qu’un patient cirrhotique décompensé.
  • L’âge et l’état général comptent aussi. Un patient de 55 ans sans comorbidités ne fait pas face aux mêmes défis qu’un patient de 85 ans avec multiple problèmes de santé.
  • La réponse au traitement : Certains patients montrent une sensibilité remarquable à des thérapies qui, chez d’autres, n’apportent que peu de bénéfices.

Taux de survie selon les stades du cancer du foie

Pour les cancers précoces traités chirurgicalement, la survie à 5 ans peut atteindre 70 %. En revanche, pour les stades avancés, elle chute malheureusement à moins de 15 %. Cependant, ces statistiques évoluent. Les nouveaux traitements améliorent progressivement ces chiffres, et certains patients défient toutes les prédictions.

Cancer du foie : Inopérable, quelle espérance de vie ?

Certains patients récusés et présentant un cancer initialement inopérable, ont pu bénéficier d’une thérapie ciblée, et finalement ont pu se faire opérer. Aujourd’hui, les chiffres rapportent qu’ils ont pu vivre plus de 8 ans sans récidive.

Vivre avec un cancer du foie

Gestion des effets secondaires des traitements

Les traitements contre le cancer ne sont pas une promenade de santé :

  • La fatigue est l’effet secondaire le plus fréquent et peut être accablante. Plutôt que de lutter contre, il faut l’accepter et planifier des périodes de repos tout en maintenant une activité physique adaptée.
  • Les nausées et troubles digestifs peuvent être contrôlés par des médicaments antiémétiques et une alimentation fractionnée (petits repas fréquents).
  • Pour la douleur, une approche graduée est recommandée, des antalgiques simples aux opioïdes si nécessaire, parfois complétés par des techniques comme l’hypnose ou l’acupuncture.

Le soutien psychologique et social

On ne devrait jamais sous-estimer l’impact psychologique d’un diagnostic de cancer. Les groupes de soutien permettent d’échanger avec d’autres personnes dans la même situation.

Les thérapies complémentaires

La méditation, le yoga ou l’art-thérapie aident certains patients à gérer l’anxiété et à retrouver un sentiment de contrôle. N’oublions pas les ressources disponibles : Associations de patients, services sociaux, aides à domicile… Personne ne devrait affronter cette épreuve seul.

Prévention du cancer du foie

Vaccination et dépistage

La bonne nouvelle, c’est qu’on peut prévenir une part importante des cancers du foie. La vaccination contre l’hépatite B est extrêmement efficace et devrait être universelle. Le dépistage et le traitement des hépatites B et C chroniques réduisent considérablement le risque de développer un cancer. Pour les personnes atteintes de cirrhose, un suivi régulier par échographie tous les 6 mois permet de détecter précocement d’éventuelles tumeurs. Ce n’est pas parfait, mais ça sauve des vies.

Présentation d'une soignante qui va faire une vaccination contre hépatite B pour cancer du foie

Modifications du mode de vie

Certains choix quotidiens font une réelle différence :

  • Limiter sa consommation d’alcool est probablement le plus important, le foie vous remerciera.
  • Une alimentation équilibrée, riche en fruits, légumes et grains entiers, participe à la santé hépatique.
  • Maintenir un poids santé réduit le risque de NASH, cette maladie du foie gras non alcoolique devenue épidémique.
  • L’activité physique régulière améliore la sensibilité à l’insuline et réduit l’inflammation, deux facteurs impliqués dans la carcinogenèse hépatique.

Cancer du foie : Témoignage

Alice, 68 ans : « La découverte de mon cancer du foie s’est faite par hasard. C’est en faisant une simple échographie pelvienne qu’a été diagnostiqué une anomalie au niveau de mon foie. J’ai dit au radiologue que j’avais souvent des pics au niveau du ventre. Il a donc regardé plus haut et là il m’a dit qu’il y avait un problème. Il m’a envoyé faire un scanner abdomino-pelvien dans la foulée. Les résultats tombent : Cholangiocarcinome ! Jamais entendu parlé mais je me doutais que c’était grave. J’étais bouleversée mais j’ai été prise en charge tout de suite et tout s’est enchainé. IRM, TEP-scanner et biopsie. J’ai subi une chirurgie. Aujourd’hui cela fait 15 mois que j’ai été opérée et je vais bien. Merci l’équipe médicale ».

Cancer du foie : Notre bilan

Le cancer du foie reste un adversaire redoutable, mais nous ne sommes plus désarmés face à lui. Du diagnostic précoce aux nouvelles thérapies ciblées, notre arsenal s’enrichit constamment.

Retenons l’importance capitale du dépistage chez les personnes à risque et des mesures préventives accessibles à tous. La prise en charge optimale passe par une approche multidisciplinaire, où chirurgiens, hépatologues, oncologues et radiologues travaillent main dans la main.

Si vous ou un proche présentez des symptômes inquiétants, n’attendez pas. Consultez rapidement c’est peut-être le geste le plus important que vous puissiez faire. L’espoir existe, même face à cette maladie difficile, et chaque jour apporte son lot d’avancées qui transforment progressivement le pronostic des patients.

FAQ : Vos questions fréquentes

J’ai les jambes gonflées et le ventre gonflé est-ce le signe d’un cancer du foie ?

Vous avez peut-être un dysfonctionnement au niveau hépatique. Le ventre gonflé peut être le signe d’une ascite et les jambes gonflées, un œdème. Vous devez consulter rapidement pour en rechercher les causes.

Le cancer du foie foudroyant c’est quoi ?

Un cancer, en général foudroyant, est un cancer agressif qui se développe très rapidement. Sans traitement, le patient peut partir en quelques mois seulement.

Quelle espérance de vie chez un patient atteint d’un cancer du foie ?

Tout dépend à quel stade le cancer du foie est découvert et quels ont été les traitements administrés. Chaque cas est unique.

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